4. L'attaque des ruines (Hauts Reculés)

Fronçant les sourcil, je me met soudain à parler d'une voix moins légère qu'a mon habitude. Plus autoritaire, plus sèche, plus proche de celle que j'avais pris lors de notre première conversation à propos de la valeur avec Dreanyth et Ysériel.

-D'accord. La situation se complique. Les intrus auront bientôt finit de déblayer et nous avons très peu de temps pour dégager un passage et le reboucher proprement derrière nous! Dreanyth, Esendil, Paladin, allez chercher tout ce que vous pourrez trouver ressemblant de près ou de loin à un marteau, une pioche ou une barre à mine. De mon coté je vais tenter de voir si mes années aux mines ne sont pas trop loin derrière moi.

La situation est critique : pierre elfique, construction elfique. Heureusement, le travail de sape est nain. Je pose mes mains sur la roche avec un air concentré sur le visage.

-Très bien ma chère, dis-je en m'adressant visiblement à la pierre, nos peuples ne sont plus amis depuis des siècles mais c'est un ennemis commun que nous combattons aujourd'hui. Alors parle moi, il le faut.

(En attendant l'éventuel retour ou départ officiel de Dreanyth, vous pouvez continuer !)

Dreanyth, Esendil et Paladin reviennent rapidement, l'air penaud. En effet, ils n'ont pas trouvé grand chose si ce n'est des bouts de bois assez costauds pour tenter de faire levier pour les plus grosses pierres.

Hawg dirige les manoeuvres sans hésitation et le travail avance bien. Vous dégagez enfin une pierre qui laisse passer la lumière...

... mais aussitôt, accompagnée d'un juron bien pensé, un gros caillou passe dans l'ouverture, manquant de peu d'assommer le jeune hobbit. Il semblerait que vous soyez attendus de pied ferme de l'autre côté !

Ysériel, de son côté, surveille attentivement vos arrières. Les grognements de gobelins se faisant plus proches. Par ailleurs, le déblaiement en contrebas par les orques a bien avancé et il se pourrait qu'ils arrivent rapidement.

Un juron en Khuzdul suit presque immédiatement celui provenant de l'autre coté de la paroie. Il fallait s'y attendre mais on y a pas pensé, ca nous apprendra. Sur un ton dur mais pas agressif, je crie dans ma propre langue natale.

Une voix jeune se fait entendre de l'autre côté.
- Paladin ? Paladiiiin !

Mais une autre, plus bourrue, répond à Hawg dans la même langue.

Paladin, lui, a les yeux humides et saute sur place.
- C'est moi Flambard ! Et je vais bien papa !

De son côté, Ysériel entend clairement les orques parler. S'ils ne sont pas encore en marche, nul doute qu'ils vont arriver d'ici quelques minutes.

Un rire franc résonne avant que le nain reprenne la parole, d'un ton plus amical a priori.

De l'autre côté, ils se mettent à enlever, avec précaution, assez de pierres pour vous permettre de passer.

Mais des bruits de pas se font entendre derrière vous.
Ysériel, l'arc en main, flèche encochée, se tient prêt à planter le premier ennemi qui se présentera.

Ce qui ne tarde pas : quelques gobelins précèdent une troupe d'orques à l'aspect menaçant.
Elendil se met à côté du jeune rôdeur et , à deux deux, éliminent rapidement quatre peaux vertes.

Dreanyth tire l'épée et se tient prêt à défendre au corps à corps les deux archers.

Pendant ce temps, Hawg aide Paladin à passer avant de tirer sa hache.

Je continue à tirer...

Ils sont combien ?

Vous avez tué ou mis hors d'état de nuire 7 gobelins. Les derniers retournent en arrière, manquant de se faire écraser par les orques qui ricanent.
Hawg et Dreanyth se postent devant les deux archers, attendant les ennemis de pied ferme.

D'un coup d'oeil, vous dénombrez 8 puissants orques armés.

Mes genoux se plient lentement, ma masse se lève comme d'elle même afin de créer une épaise ligne d'acier entre les orcs et moi. Mes machoires, crispées, les sourcils froncés, chacun de mes muscles tremble de la rage engendrée par des siècles de rancœur, des siècles de haine. Mes paroles, fortes, claires, violentes, claquent comme en pleine bataille.

-Ysendril, Ysériel, Vous passez la brèche les premier, nous vous couvrirons!

Puis je fixe un à un les orcs, un rictus presque fou figé au visage. ma voix est basse mais reprend en puissance à mesure que je cesse de parler pour moi et me met à m'adresser directement à eux.

-Ce jour est mien, ce jour est notre,

Mon corps se tends encore, se crispe, je semble prêt à éclater.

-Ce jour est celui d'Endure qui combattit vaillamment toute sa vie pour gagner son repos, ce jour est celui d'Amgar qui tombât en tuant des dizaines des vôtres. CE JOUR EST CELUI DE TANT D AUTRES QUI VOUS REPOUSSÈRENT AVANT MOI, CE JOUR EST CELUI DES NAINS, CELUI DE VOTRE TREPAS! BARUK KHAZAD! KHAZAD AI MENU!!

Ma voix ne tremble pas, ma détermination est celle que ceux les nains connaissent, celle de chaque nain derrière moi à cet instant, celle d'Aluë lui même lorsqu'il forgea nos père. Cette position est la mienne et la pierre qui la représente sera gorgée de sang orc avant que le miens ne touche le sol.

[Jet d'intimidation, je ne sais pas si il me reste des point d'héroisme mais si c est le cas j'en utilise autant que possible]

Je reste un instant figé devant la beauté de l'instant et je sens un frisson me parcourir.

Un jour, c'est sûr, j'écrirai un poème sur cet instant.

Mais je ne rêvasse pas longtemps et après avoir décoché quelques flèches encore je commence à m'infiltrer dans la brèche, après notre petit Hobbit que je fais entrer en premier. J'aide les deux combattants autant que je le peux.

Paladin passe sans problème dans la brèche, poussé par Ysériel, le visage fermé et sombre. Après un dernier regard en arrière, le rôdeur passe à son tour, aussitôt suivi d'Esendil.

Derrière, les bruits de combat et les cris de rage se mêlent dans un fracas assourdissant.

(Pour la suite, vous préférez ici ou en section privée ?)

(Peu importe pour moi)

(bah, vu qu'on est plus que 2 joueurs, je pense qu'on peut suivre les aventures l'un de l'autre, ça nous occupera :p)

(Je suis d'accord)

Ysériel

Des mains viennent te tirer d'entre les pierres de l'éboulis alors que la lumière blafarde d'un temps d'hiver (rappel :vous êtes pourtant au printemps) t'oblige à froncer les sourcils et fermer légèrement les yeux.
Devant toi, au sommet de la tour, quatre nains et trois hobbits (dont Paladin) vous regardent les rejoindre avec anxiété. Toutefois, la joie de se retrouver chasse vite les nuages dans la tête des petites gens.
Esendil est à son tour tiré par deux nains.

Droctulf, que tu reconnais, est un Nain trapu, à la panse avantageuse et aux épaules larges. Il a le visage noble mais ridé, des cheveux et une barbe blonds tirant sur l'argent. Sa barbe est divisée en deux fourches passées dans sa ceinture. Vêtu d'un manteau court de voyage doté d'un ample capuchon taillé dans un beau drap bleu nuit frangé de brocart ; il porte en outre une cotte de mailles sur un pourpoint matelassé et des bottes fatiguées . Une courte dague est suspendue à son côté, et sa rondache d'acier poli, un peu cabossée par les récents combats, est ornée d'une naine ciselée. La lame de sa solide hache d' armes, au manche épais et court, est ornée d'une rune au tracé délicat.
- Par Aüle ! N'aviez-vous pas d'autres endroits où fuir que cette souricière ?

En effet, la seule issue est bien celle d'où vous êtes arrivés !

Un des autres nains, à la barbe rousse et les cheveux tressés (seule distinction d'ailleurs avec probablement son frère, tandis que le dernier nain est presque chauve), affiche un visage de désespoir.
- Vous n'êtes que deux ?


Hawg

Les orques ont un moment d'hésitation devant ta détermination. Ton regard fier et farouche ferait palir bien des Rois !
Pour autant, ils sont plus nombreux et derrière eux, le lige Raban fait son apparition, affichant un rictus mauvais. Ses yeux noirs semblent lâcher les ténèbres tandis qu'il leur hurle d'attaquer sans pitié.

A tes côtés, Dreanyth se tient également prêt, l'épée levée, brillante d'un éclat mortel.

L'espace est réduit aussi, seuls 4 orques se lancent à l'assaut. Derrière Raban, avant de vous concentrer sur le combat, vous apercevez d'autres orques...

Solidement ancrés comme les Montagnes Brumeuses, vous formez un mur sur lequel l'ennemi vient se jetter en vain. Plus rapide, Dreanyth tranche le bras d'un orque avant de replacer son épée sur laquelle vient s'empaler un autre orque.
Tes gestes sont plus lents, certes, mais ta puissance est dévastatrice : d'un large mouvement oblique, tu fends littéralement le premier orque de l'épaule au bassin. Un jet de sang s'envole vers le plafond mais tu ne le vois pas. Tu pivotes sur toi même et vient à nouveau trancher dans le lard du deuxième orque.

En un éclair, vos quatre adversaires se retrouvent au tapis, déversant leur fluide vital sans avoir eu le temps de dire adieu à leur vilaine mère.

De l'autre côté de la pièce, les orques grognent et hésitent à se jetter à leur tour sous vos coups mortels. Mais la haine s'empare de leur coeur rachitique, exhorté par Raban, les mains levées comme appelant la tempête à se lever.

Deux orcs tombent et la pierre boit leur sang. Quatre de moins, quatre de moins, quatre de moins...Ils sont nombreux mais le terrain est à notre avantage, ils sont enragés mais nous sommes inébranlables, ils ont le secours de la magie mais nos ancêtres sont avec nous, ils sont la souillure et elle n'entachera pas la terre du milieu.

-ALLONS ALLONS, LA PIERRE EST A PEINE ROUGIE! JE L'ENTENDS, ELLE A SOIF, APPROCHEZ VOUS!

Je corrige encore mes appuis pour être certain de ne pas glisser. Les corps des leurs entraveront leur charge; encore quelques uns et il suffira d'abattre ceux qui escaladeront le tas.

-ALLE! J'AI UN MUR A CONSTRUIRE AVEC VOS CADAVRES!

[Nouveau jet d'intimidation si c'est possible ^^ ]

Je regarde les gens autour de moi, et regarde surtout quelles sont les sorties possibles.

- Nous sommes 5, un homme et un nain sont derrière, ils ralentissent les orques ! il faut trouver un moyen de les aider !

Ysériel
Aucune autre sortie ! A moins de descendre la tour par la façade au moyen d'une corde...

Les nains prennent leurs armes et dans un regard complice, s'approchent du trou de souris par lequel tu es arrivé.
Droctulf bombe le torse et s'exclame :
- Mes frères ! Il n'est pas encore dit que nous périrons ici ! Nous n'avons d'autre choix que de fuir mais nous ne sommes pas seuls.

Il se tourne vers les hobbits, pâles d'inquiétude.
- Nous vous protègerons mais restez groupés et derrière nous. Prenez garde toutefois à nos haches !

Et sans plus attendre, il se glisse dans l'ouverture suivi de ses compagnons.
Les hobbits rassemblent quelques affaires et attendent que tu emboîtes le pas, visiblement peu pressés d'aller à l'encontre des orques et gobelins.


Hawg

L'ennemi se lance à nouveau à l'assaut. Plus prudents cependant, les orques forment une ligne compacte, effrayante pour le commun des mortels. Mais vous n'êtes pas le commun des mortels...
Le combat est rude mais vos coups sont toujours aussi précis et mortels. Sans aucune idée du temps, les corps s'amoncellent à vos pieds, les cris d'agonie ou de détresse résonnent dans la ruine elfique souillée.
A tes côtés, Dreanyth se bat toujours aussi vaillamment mais tu remarques plusieurs estafilades et du sang à ses pieds. D'ailleurs, tu es aussi touché mais tu ne ressens aucune douleur... Ca ne doit pas être grave !

En levant les yeux, tu remarques que Raban n'est plus là et que l'ennemi semble réfléchir et reculer.

Malgré tout, le combat n'est pas terminé et il reste encore bien trop d'orques face à vous.

*Bon et bien !*

Je précède les hobbits et sors ma propre lame, dans le but d'occire le premier ennemi qui se rapprochera d'eux. Je sais que je serais plus utile avec un arc mais je veux pouvoir réagir rapidement si un orque arrive à passer la ligne de défense naine.

Reprenant mon souffle, je n'accorde qu'une légère attention au sang qui goutte, ou coule, peu importe. L'ennemi est devant moi, aux portes de notre dernier bastillon et cela seul compte. Je compterais mes égratignures plus tard. Alors que je m'apprête à repousser une nouvelle vague plus molle (on dirait qu'ils se fatiguent), je remarque le bruit de déplacement sur les pierre dans mon dos [A moins que le MJ ne me dise le contraire :p ]. DEs renforts! Pile au moment où une charge pour renverser la vapeur semblait judicieuse. Je m'adresse à Drocdulf sans détourner le regard des orcs approchant.

-DROCDULF! Mon ami, tu choisi le moment parfait pour venir en renfort. Il molissent, leur chef a disparu. A deux nous ne pouvions que tenir bon mais avec ton aide et celle des tiens : le moment est venu de les boutter hors de cette endroit. Es-tu avec moi? Etes vous tous avec nous?

En réponse, Droctulf et ses accolytes viennent se placer devant vous, pour vous permettre de souffler.

- C'est un honneur de venir fouler le sang des orques à vos côtés ! Reposez vous un court instant pendant que nous continuons votre admirable travail !

Là-dessus, il fait face aux orques et un rictus mauvais se dessine sur son visage. Dans sa main, fermement tenue, sa hache brille d'un éclat particulier. Hawg peut y reconnaitre la signature d'une rune au tracé délicat.

Les quatre nains se lancent à leur tour dans une charge puissante, telle une vague sur s'abattant sur un chateau de sable. Le combat dure peu avant que tombent les derniers ennemis assez courageux pour faire face. Les autres se sont repliés, les gobelins en premier, non sans couiner.

Vous en profitez tous pour avancer. Les hobbits au mileu, bien protégés par Ysériel et Esendil à leurs côtés, les nains devant et enfin Hawg et Dreanyth derrière.

Il vous faut peu de temps avant que vous n'arriviez à la porte elfique, fermement fermée par l'antique magie. Derrière, l'ampleur de la colère de Raban vous parvient, amplifiée par un vent violent qui s'est levé. Le ciel, encore plus sombre que ce matin, menace lourdement.

Connaissant le mot de passe, vous vous faufilez à l'extérieur de la bâtisse en ruines avant que la porte ne se referme à nouveau. Devant vous, le taillis de ronces vous fait face.
Non sans maints soupirs, vous repassez en dessous, écorchant peau, manteaux et fourrures.

Derrière la porte, l'agitement des orques et des gobelins se fait entendre. Ils sont coincés mais le seront-ils longtemps ?

Je me relève en reprenant doucement mon souffle et tend mon bras à Drocdulf et ses amis.

-Merci à vous, mes frères. Votre charge était magistrale et je suis certain que ces peaux vertes se souviendront longtemps de nous!

Puis redevenant plus sérieux, mon sourire s efface de mon visage.

-Mais, si vous le permettez, nous nous congratulerons et écrirons des chansons sur notre résistance plus tard. Il nous faut nous hâter; même les peaux vertes ne mettrons pas bien longtemps à comprendre qu'ils n'ont pas à démolir cette porte mais simplement à contourner la tour pour nous rejoindre.

Je propose à notre doyen de trouver le chemin qui nous éloignera au plus vite de ce trou à rats pendant que, en arrière garde, j'efface les traces de notre passage et crée de fausses pistes, quitte à m'éloigner de temps en temps du groupe, pour revenir ensuite sur les traces à estomper. J'agis avec rapidité, efficacité et discrétion.

Avec les rôdeurs Ysériel et Esendil aux commandes , votre groupe hétéroclite s'éloigne discrètement des ruines elfiques, laissant derrière vous un Raban en colère, à en juger par le ciel terriblement sombre et menaçant.

Dans un silence lourd, vous repartez en direction de Granterrier où les hobbits sont attendus par leurs proches. Peu à peu, le soleil arrive à percer les nuages et vient vous réchauffer, sinon vous réconforter.

Heureux d'être sortis du guépier des hommes d'Angmar, des sourires viennent enfin égayer l'ambiance du groupe. Mais une voix forte et rude raisonne non loin, vous figeant de stupeur.

- Droctulf ! Il est temps de payer ta dette !

Surpris, vous vous retournez d'un même mouvement.

Non, ce n'est pas Raban, le Lige du Roi-Sorcier mais Sindold, Gewilib et Hermanfrid le Borgne (NdMJ : petit rappel : ce sont les hommes que vous avez croisé avant d'arriver à Granterrier et ensuite à l'auberge) qui, semble t'il, en ont après Droctulf.
A voir leurs regards, il y a bel et bien un différent entre ces hommes et la fratrie de Droctulf.

Ce dernier leur répond :
- La mort de votre chef ne vous a pas suffi ?

Hermanfrid, le colosse, crache au sol et dégaine son épée bâtarde.
- Ce soir, tu dormiras encore plus petit que tu ne l'es déjà !

Il est clair que si vous n'intervenez pas, un combat à mort va s'engager entre les hommes de Dun et les nains.

Petit retour en arrière :

Après avoir sauvé Milon des griffes du Vieil Aulne et de Boëmund, émissaire du Roi-Sorcier, vous vous apprétiez à repartir, chacun vers sa destination.
Mais le fleuve Brandevin charriant de dangereux débris, inquiétant les "valeureux" hobbits, vous vous êtes chargés d'en savoir plus. Il s'agissait de débris du navire transportant Dame Vanimeldë.
Ayant retrouvé cette dernière et surtout éloigné de son Oncle corrompu Belegorn, vous vous êtes mis en chemin à sa demande.
En effet, Dame Vanimeldë est consciente de la gravité de la situation de l'Arthedain, puisqu'elle est chargée d' un message d'appel au secours auprès d'Earnil Il de Gondor, et puisque l'attaque dont elle a été victime au coeur de l' Arthedain prouve que l'ennemi a déjà profondément infiltré le royaume.
Privée de son bateau, Dame Vanimeldë craint de ne pas être attendue en Enedwaith par le navire des elfes des Havres Gris. Elle veut prévenir au plus vite Cirdan le Charpentier de son retard. Elle connaît un seigneur nain des Montagnes Bleues, qui a séjourné peu de temps auparavant à Fornost, et qui est en bons termes avec Cirdan. Ce nain, Droctulf le Bienheureux, est en train de regagner son pays ; d' après ses estimations, Dame Vanimeldë pense qu' il doit encore se trouver dans l' ouest de la Comté. Elle vous a donc chargé de la mission suivante : retrouver Droctulf au plus vite et lui confier une lettre à transmettre à Cirdan le Charpentier. Ce message rapporte l' agression dont Dame Vanimeldë a été la victime et demande à Cirdan de faire attendre son navire en Enedwaith.

(Excusez les changements de temps, j'ai fait un petit mélange de copié/collé. )

Vous avez retrouvé Droctulf mais voilà qu'il est pris à parti par des Hommes de Dun, visiblement chargés d'une rancune tenace.